PARIS Beau Bourg CityBreak

« Je voudrais passionnément que Paris possède un centre culturel (...) qui soit à la fois un musée et un centre de création, où les arts plastiques voisineraient avec la musique, le cinéma, les livres, la recherche audio-visuelle, etc. Le musée ne peut être que d’art moderne, puisque nous avons le Louvre. La création, évidemment, serait moderne et évoluerait sans cesse. La bibliothèque attirerait des milliers de lecteurs qui du même coup seraient mis en contact avec les arts.”
C’est en ces termes que Georges Pompidou décrit le projet, lancé dès 1969, de ce qui deviendra le Centre Georges Pompidou.
C’est en ces termes que Georges Pompidou décrit le projet, lancé dès 1969, de ce qui deviendra le Centre Georges Pompidou.
Présidé par l’architecte Jean Prouvé, le jury désigne comme lauréate l'équipe de deux jeunes architectes : RENZO PIANO et RICHARD ROGERS.
Caractéristiques du projet :


• Création d'un ESPACE TRANSFORMABLE. Le bâtiment est conçu, à partir de

• TOUT MONTRER, la structure et tout ce qui la fait fonctionner. Squelette, tripes et artères sont ainsi exposés en plein air, sur la rue et sur la piazza.
1977-2007
Pour ses 30 ans• Coïncidant avec le 30e anniversaire du Centre Pompidou, le Musée déploie, dans un NOUVEL ACCROCHAGE, sa collection d'art moderne (de 1905 aux années 1950) sur la totalité du niveau 5.
Ce nouvel accrohage met l'accent sur les grands fonds monographiques émanant des donations des artistes ou de leurs familles, fond qui s’est considérablement enrichi pendant ces trente dernières années.
Parallèlement les collections se sont ouvertes à d'autres domaines : des salles consacrées à Man Ray, Moholy Nagy, Brassaï, pour la photographie, à Chareau et Prouvé pour l'architecture et le design.
Dans un parcours organisé chronologiquement, les salles consacrées aux artistes, conçues comme un dossier ou une petite exposition, alternent avec des salles construites autour d'une personnalité (André Breton, dont le Centre a le privilège de conserver une partie de la collection telle qu'il l'avait disposée sur le mur de son atelier rue Fontaine, ou bien Jean Paulhan), d'une grande revue (Cahiers d'art, ou Documents), d'une galerie (Maeght, Jean Fournier), d'un mouvement (le Bauhaus) ou d'un événement (l'Exposition de 1937).

Metz à la croisée de l’Europe du Nord et du Sud qui ser desservi par le TGV Est européen (10/jour). Fin des travaux prévu en 2008 , mais l’opération urbaine de ce nouveau « quartier de l’Amphitéâtre » sera terminée en 2015.
L'ensemble évoque un vaste chapiteau entouré d'un parvis et d'un jardin. L'édifice se présente comme une vaste structure hexagonale couvrant l'ensemble des espaces intérieurs qui se développe autour d'une flèche centrale qui culmine à 77 mètres.
Entièrement réalisée en bois, la couverture est composée de modules hexagonaux, ressemblant au cannage d'un chapeau chinois, recouverte d'une membrane étanche à base de fibre de verre et de Teflon. Trois galeries, en forme de tubes parallélépipédiques, se superposent et se croisent sous cette grande couverture.
© Shigeru Ban Architects Europe avec Jean de Gastines, architecte
• BEAUBOURG s’exporte à SHANGAI
Dès cette année, d’abord dans un ancien palais du quartier de Luwan avant d’intégrer on bâtiment de 10000 m2 prévu pour 2009.
Mais ce quartier de Beaubourg a aussi un parrain
LA FAMILLE COSTES
LA FAMILLE COSTES


Trois ans plus tard, Gilbert, par émulation fraternelle, renchérit avec le

Les Costes ne lésinent pas sur les moyens. Quitte à se mettre en danger. «Plusieurs fois, ils ont frôlé la catastrophe, témoigne un proche conseiller de la famille. Prenez le GEORGES : personne ne voulait de cette concession du Centre Pompidou qui demandait au moins 10 millions de francs d'investissements. Résultat ? les Costes, avec les designers Dominique Jakob et Brendan McFarlane, en ont fait non seulement un restaurant très rentable, mais aussi le plus beau décor de Paris!» … (dans le musée, réservation conseillée, tél. 08 26 10 04 78).
(extrait : Les dessous d'un empire par François-Régis Gaudry, paru dans L'Express du 11/05/2006)

Enfin toujours sur cette rive, l’HÔTEL AMOUR, de Thierry Costes, la


(25 rue Jean-Jacques Rousseau Paris 1er
tél. 01 42 36 38 12
réservation conseillée
fermé le dimanche).